ALFI, loger et accompagner pour un parcours résidentiel réussi

La SFHE, bailleur social filiale du Groupe Arcade-Vyv, gère via son agence implantée au cœur de Montpellier plus de 2500 logements répartis sur la région Occitanie. Depuis toujours, la SFHE veille à faire du développement social un des axes prioritaires de son action dans les territoires.

Cette année, avec le projet « Cuisine en vrac ! », l’équipe de l’agence de Montpellier cible une action phare à destination des locataires des résidences Le Lac et le Saint Guilhem, toutes deux situées dans le quartier de la Mosson. Un projet ambitieux orchestré avec l’association Montpellieraine Vrac et Cocinas, membre du réseau national VRAC.

La SFHE et Vrac et Cocinas ont lancé au mois de mai « Cuisine en vrac ! ». Un projet visant à rendre accessible une alimentation de qualité pour toutes et tous, au travers de deux actions majeures :
- l’accompagnement des habitants à rejoindre un groupement d’achat citoyen et solidaire permettant l’accès à des produits locaux et de qualité à des tarifs accessibles,
- la participation à des ateliers de cuisine et des repas partagés pour découvrir des saveurs et des recettes variées.

Créer la rencontre autour de l’alimentation

Les deux premières rencontres ont eu lieu courant mai au pied des résidences, en présence d’agents de la proximité de la SFHE et de membres de l’association Vrac et Cocinas. Le groupement d'achat a été présenté aux habitants : des produits d'épicerie (farine, sucre, pâtes, huile d'olive, miel, amandes, dattes, etc.) et des produits d’entretien, tous bios et élaborés par des producteurs locaux, font partie d’un large catalogue proposé aux locataires. Ceux-ci sont invités à effectuer leurs commandes de façon mensuelle, au sein du centre social contiguë ou via internet, puis à venir les retirer à proximité une fois par mois. Dans un second temps, il leur sera également proposé de rejoindre les bénévoles de l'épicerie en donnant un peu de leur temps pour la faire vivre et perdurer au sein du quartier de la Mosson. 

« Grâce à l’association Vrac et Cocinas déjà implantée dans le quartier de la Mosson, nous souhaitons permettre à nos locataires de bénéficier facilement de produits alimentaires de grande qualité à des prix réellement intéressants. Nous espérons qu’une fois  cette dynamique impulsée dans nos deux résidences, ce principe de commande pourra s’inscrire de façon durable dans leurs habitudes », déclare Patricia Morel, chargée de développement social à la SFHE.

Les deux premières rencontres au pied des résidences ont été un succès, de nombreux habitants sont venus rencontrer les membres de l'association et les collaborateurs de la SFHE pour découvrir le projet « Cuisine en vrac ! », les produits proposés et même passer directement commande pour certains.

« L’objectif est que les habitants aient ensuite à cœur de s’investir dans le fonctionnement de l’épicerie en devenant bénévole en fonction de leurs possibilités, afin d’aider à la réception des produits, à la remise des commandes aux adhérents, etc., pour que celle-ci devienne un réel projet social et solidaire et s’inscrive dans le temps », explique David Louart, responsable de l’agence SFHE de Montpellier, à l’origine de ce projet avec son équipe.

Cuisiner et partager un repas entre voisins d’une même résidence

Lors des prochains rendez-vous, les locataires seront invités à venir, sur le parvis de la résidence, cuisiner ensemble grâce à la cuisine mobile de l’association Vrac et Cocinas, avant de partager le repas ainsi préparé avec tous les locataires présents. Un temps fort qui sera l’occasion de partager des façons de cuisiner et des recettes, de valoriser des savoir-faire et des traditions, et de se rencontrer autour du thème de l’alimentation. 

Rendez-vous est donné vendredi 30 juin aux locataires de la résidence Le Lac de 9h30 à 12h pour cuisiner puis de 12h à 14h pour partager un repas convivial. Le même programme aura lieu mercredi 12 juillet à la résidence Saint Guilhem. L’atelier cuisine et le repas sont gratuits et sans inscription. Les personnes peuvent aussi simplement venir échanger, sans connaissances particulières en cuisine, afin de rencontrer l’association Vrac et Cocinas et les autres locataires.
 

Pour la première fois, une « délégation ALFI » s’y est rendue : 5 jeunes, accompagnés de deux travailleuses sociales, ont pu découvrir le festival durant 2 jours.
 
Une rencontre avec Stéphane Junique, Président du Groupe VYV*, a même été organisée sur le stand du Groupe Arcade-VYV*. « Cet échange était remarquable, nous permettant de comprendre le travail des uns, les ambitions des autres et la richesse du dispositif des pensions ou logements qui a reçu des louanges méritées...et fort heureusement, cela a été filmé ! », a souligné Benoît CSAKVARY, responsable de programmes chez VYV Solidaires*. 
 
Cette première participation de résidents ALFI, qui en appellera d’autres, a été rendue possible grâce à la collaboration entre l’ALFI, qui a pris en charge les frais de transports et d’hébergement, et les équipes de VYV Solidaires, qui leur ont offert les billets d’entrée au festival. 

*L’ALFI est une association de l’économie sociale et solidaire du Groupe Arcade-VYV (domaine du logement), lui-même entité du Groupe VYV (domaine de la santé). VYV Solidaires est une association du Groupe VYV créée en 2022, dont l’objectif est de favoriser l’engagement solidaire des collaborateurs et élus, en développant un cadre qui permette à tout un chacun d’agir concrètement et collectivement en faveur de causes en lien avec l’ADN du Groupe. 

Pour en savoir plus sur le VYV Festival et la rencontre avec les jeunes de l'ALFI, regardez ce court-métrage de 2 minutes !

De façon concomitante, VYV Solidaires a souhaité constituer un réseau de référents à l’échelle du Groupe VYV, afin de poursuivre sa feuille de route au service des solidarités et de l’engagement des salariés et élus du Groupe.

Dans ce cadre, l’ALFI assurera désormais un rôle de référent unique pour le compte de ses adhérents, les ESH et coopératives Hlm du Groupe Arcade-VYV, sur les différents volets liés au déploiement de la dynamique VYV Solidaires : pilotage de la mobilisation lors des événements impulsés, supervision de la communication, accompagnement aux adaptations RH... 

Ce rôle de référent unique sera assuré : 
- dans la continuité de la mobilisation de l’ALFI dès la phase de lancement de VYV Solidaires, à l’occasion du Noël des engagés 2022, et du travail de lien que l'ALFI, en tant qu'opérateur associatif du Groupe Arcade-VYV, assure avec le Groupe VYV concernant les travaux et réseaux sectoriels de l'Economie Sociale et Solidaire (ESS) : contribution au référencement des actions des maisons de VYV dans le cadre du mois de l'ESS, participation aux travaux de la Chambre régionale de l'ESS IDF…
- dans le cadre de la feuille de route du réseau Arcade-VYV Solidarités animé par l'ALFI. En tant qu'outil de facilitation et de valorisation des coopérations, ce réseau constituera un cadre privilégié pour faire connaître VYV Solidaires auprès des entités du Groupe Arcade-VYV et de leurs partenaires, et pour favoriser la mobilisation dans le cadre des évènements associés 
- en lien avec les parties prenantes concernées au sein du Groupe Arcade-VYV : Directions Générales, Directions des Ressources Humaines, référents Utilité Sociale (animateurs du réseau Arcade-VYV Solidarités), référents Communication. 

- La Ferme du Mathou a proposé un ramassage des déchets avec les ânes ainsi qu'un atelier fabrication de pain cuit au four à bois.
- L'association TerraLéo a sensibilisé les enfants et les parents au compostage. 
- Le centre social Le Sillage a réuni grands et petits autour de jeux de société et a apporté sa Rosalie pour les déplacements doux entre les quartiers. 
- La Maison du Projet a montré une exposition sur le renouvellement urbain.
- L'association Just Kiff Dansing a fait danser les jeunes. 
- Des jeux gonflables ont occupé les enfants pour que les parents puissent participer aux ateliers.

Ce rendez-vous annuel est un moment convivial entre les habitants et les équipes de proximité. Il permet un dialogue apaisé et retisse les liens sociaux.

Cette soirée a été marquée par un esprit de convivialité réunissant les habitants du quartier autour d'un objectif commun : renforcer les liens de voisinage.

Organisée en partenariat avec la Mairie d'Olivet et les 4 bailleurs sociaux présents sur le quartier, dont France Loire, cette édition de la fête des voisins a surpassé toutes les attentes et a été un véritable succès. 

Grâce à la coopération entre les différents acteurs impliqués avec des réunions de planification anticipées pour créer un programme attractif, la créativité du programme a permis d’offrir des activités variées et divertissantes à destination des habitants du quartier : un atelier pédagogique sur les écogestes, un atelier compostage par la MJC, un atelier de vélo smoothie, un stand de dessin ainsi qu'une ambiance musicale avec une déambulation organisée par l'Harmonie d’Olivet pour mobiliser les habitants. Toutes ces animations ont contribué à créer une atmosphère joyeuse et détendue. L'animateur de proximité de France Loire a joué un rôle crucial en établissant un lien direct avec les habitants de la résidence Les Roselières, les informant de l'événement à venir et les encourageant à y participer activement, ce qu’ils ont fait ! 

 La présence de nombreux participants témoigne de l'importance accordée par les habitants du quartier à cet événement et à l'occasion de renforcer les liens de voisinage.

Grâce à l'implication de France Loire, des autres bailleurs sociaux et de la municipalité, la fête des voisins a été transformée en un moment privilégié de partage, d'amitié et de convivialité. 

La collectivité souhaite réitérer l’évènement mais cette fois à l’initiative des habitants qu’elle soutiendra vivement en offrant à nouveau l’apéro !

Des fresques artistiques et participatives à Champs-sur-Marne (77420)

Tout au long du mois de mai, le pôle DSU d’Antin Résidences a mené un chantier artistique participatif avec les locataires de la résidence de la Garenne à Champs-sur-Marne. Un invité de marque, l'artiste français Takir Vortex, accompagné par l'association B Attitude, a animé 4 ateliers d’initiation au street art.

Les plus jeunes locataires ont répondu présents pour réaliser l’œuvre principale située sur un mur à l’entrée de la résidence. Cette fresque de style géométrique mêle l'urbain et le végétal, particulièrement présents sur le site de la Garenne. Des œuvres ont également été réalisées sur la table de ping-pong et plusieurs bancs de la résidence. 

Le pôle DSU et l’équipe de proximité se réjouissent de l’implication des locataires tout au long du chantier artistique et du nouveau partenariat noué avec la ville de Champs-sur-Marne !

Actions de fleurissement et de customisation à Lognes (77258)

Début juin, le pôle DSU d’Antin Résidences et l’équipe de proximité ont mené un chantier d’embellissement de la résidence du Segrais à Lognes. En partenariat avec l’association Ressourc’ & Co, 7 jardinières XXL situées aux abords de la résidence accueillent désormais de beaux lauriers en fleurs. A l’occasion de 2 ateliers conviviaux et ludiques, les locataires ont ensuite pu co-réaliser la customisation de ces pots colorés. 

Une belle manière d’impliquer petits et grands dans la vie de leur résidence ! 

Cette solution permet de proposer aux locataires un visiodiagnostic afin de rendre compte visuellement d’une situation à travers la caméra de leur smartphone.

L’objectif : effectuer une première expertise, voire établir un premier diagnostic en temps réel et permettre d’apporter le plus rapidement possible une réponse adaptée à la problématique rencontrée par les locataires ou de la faire remonter aux équipes en mesure d’y remédier.

L’expérimentation a été réalisée sur une période de 2 mois par une quarantaine de collaborateurs. Le bilan est très positif aussi bien du côté utilisateur de ceux qui l’ont expérimenté dans les services de Mésolia que côté locataires. Apizee permet de proposer une nouvelle forme d’accompagnement et de proximité avec les locataires.

Des points d’étape avec un groupe de référents métiers seront organisés régulièrement et un retour d’expérience sera présenté à l’issue de l’année pour s’assurer que l’outil est bien en adéquation avec les attentes des locataires et des collaborateurs. 

Les locataires ont répondu présent en arborant leurs plus beaux sourires et en apportant de délicieux plats faits maison à partager.

Cette fête des voisins n'aurait pas été possible sans l'implication de nos clients. Que ce soient les habitants des béguinages, des immeubles collectifs ou des maisons individuelles, chacun a joué un rôle essentiel dans la réussite de cette soirée conviviale. Leur participation active a permis de renforcer les liens de voisinage et de créer une véritable atmosphère de proximité.

Une mention spéciale est attribuée au nouveau béguinage "Les Jasmins" à Noyelles-Godault (62), où les habitants ont vécu leur première fête des voisins ensemble. Les échanges, les rires et la camaraderie ont créé une véritable ambiance de solidarité au sein de la communauté. La visite très appréciée de David Hainaut, Technicien SAV chez Florevie, a renforcé la présence de soutien et d'assistance dont les locataires bénéficient quotidiennement.

Nous tenons à saluer cette belle initiative qui témoigne de la solidarité et de l'entraide qui règnent parmi les clients de Norevie. Ces moments de partage renforcent le sentiment d'appartenance et contribuent à créer un environnement propice à l'épanouissement de tous.

Une fête des voisins réussie est le reflet d'une communauté solide et soudée. À l'année prochaine pour de nouveaux moments de partage et de convivialité !

Bamba Pouegnan a emménagé, avec son épouse, dans la résidence Majalis à Nantes (44) en 2012. Et depuis son arrivée, il ramasse chaque jour les déchets abandonnés autour de sa résidence. Âgé de 80 ans, il a toujours veillé à la propreté des abords, sans relâche. Son investissement et sa persévérance ont d’ailleurs été récompensés lors des Rencontres du FIL organisées par Aiguillon le 19 avril dernier.

Bamba, pouvez-vous nous raconter votre parcours ?

Je suis né le 1er janvier 1943 à Soaékpé en Côte d’Ivoire, mais j’ai grandi à 600 kilomètres de là, à Abidjan. Notre habitation surplombait la lagune. On pouvait observer les voiliers. À cette époque, nous étions une colonie française*. Nous avons appris à aimer la France. Mon père était postier. Ma maman, femme au foyer. J’ai démarré ma scolarité au camp des Gardes, où l’on nous enseignait le français. Mon père a ensuite été muté à Bingerville [Ville qui doit son nom au gouverneur français Louis- Gustave Binger]. Il nous a alors, moi et ma grande sœur, inscrit au « foyer des métis ». Nous avons compris bien plus tard que ce foyer abritait les enfants issus de relations illégitimes, extraconjugales ou forcées entre colons et Africaines. À l’âge de 12 ans, mon père m’a envoyé à Daloa, chez mon grand frère, instituteur. C’était l’ainé de la famille, le fils de la première femme de mon père. Notre écart d’âge a fait de lui mon 2ème père. J’avais pris du retard dans ma scolarité car j’avais pas mal fait l’école buissonnière (rires).
Je me souviendrais toujours de la phrase avec laquelle il m’a accueilli : Si tu ne travailles pas, on va te « chicoter » ! J’ai alors pris mes études au sérieux, je suis même, par la suite devenu le premier de la classe. L’année suivante, mon grand frère a été muté à Gagnoa. Je l’ai suivi. En CM2, mon frère a pris la direction de l’école à Soaékpé, retour aux sources ! En 1965, j’ai obtenu le brevet élémentaire de capacité de l’enseignement primaire et je suis devenu enseignant, comme ma grande sœur.

_{*La Côte d'Ivoire était une colonie de l'Empire colonial français qui a existé de 1893 à 1960, date à laquelle elle a pris son indépendance pour former la république de Côte d'Ivoire.}

L’enseignement, c’était une vocation chez vous ?

Nous avons le don de l’enseignement dans la famille. J’ai formé mes élèves grâce à mes propres méthodes pédagogiques. Je répartissais les enfants par groupe de niveau et les meilleurs devaient enseigner à leurs camarades. Je les nommais alors « professeur ». Quand un élève avait compris la leçon, il devenait à son tour « professeur », et ainsi de suite, jusqu’au dernier élève. Mes élèves ont réussi, certains sont même devenus ministres ! Je suis ensuite devenu directeur de l’école, puis mon beau-frère m’a supplié de venir à Goenié, dans leur village, pour développer l’école et apporter mon savoir-faire. Dans ce petit village, j’étais un des seuls à posséder un véhicule. C’est donc moi qui emmenais à l’hôpital toutes les femmes qui s’apprêtaient à accoucher. Lorsque cela arrivait et que je devais m’absenter, c’est ma femme qui me remplaçait en classe, elle s’en sortait bien. J’ai passé 6 bonnes années dans ce village. J’ai été récompensé et ai reçu une bourse pour intégrer l’école normale supérieure d’Abidjan afin de devenir formateur. Après 3 années d’étude, j’ai obtenu l’examen, l’équivalent de la licence, au CAFOP (Centre d’Animation et de Formation Pédagogique) à Man. J’ai formé beaucoup d’enseignants et je suis devenu directeur régional adjoint à la formation pédagogique. J’étais l’adjoint… de mon frère ! À son départ, je suis passé directeur et j’ai terminé ma carrière en 1998, à l’âge de 55 ans, âge légal du départ en retraite en Côte d’Ivoire, juste après avoir reçu, par le ministre lui-même, la médaille de Chevalier de l’ordre de l’éducation nationale de Côte d’Ivoire (cf. photo ci-dessous).

Votre retraite s’annonçait douce. Que s’est-il passé ?

La crise politico-militaire en Côte d'Ivoire commence en 2002, lorsque des soldats rebelles ont pris le contrôle de certaines villes. Ils ont récupéré ma maison, ma ferme et tous les logements que j’avais en location. J’ai tout perdu. Ma fille qui habitait à Nantes à cette époque nous a envoyé des billets pour la rejoindre et nous mettre à l’abri. C’était la première fois que je quittais le pays. J’ai fait une demande d’asile que j’ai mis 3 ans à obtenir. 3 années très difficiles où il a fallu se battre ! J’ai échangé de nombreux courriers avec Jean-Marc Ayrault et François Fillon. J’ai été membre du conseil consultatif à la mairie de Saint-Herblain. En parallèle, je donnais des cours de français dans une association à Nantes. Le maire a écrit une lettre pour témoigner de mon intégration et c’est grâce à lui que nous avons obtenu un titre de séjour permanent.

Qu’est-ce qui vous pousse, depuis 2012, à mener ce combat pour maintenir votre résidence propre ?

Nous pouvions constater beaucoup de déchets sauvages aux abords de la résidence, un décor contradictoire avec le joli nom de la place : le Muguet Nantais. Voici comment je me suis transformé en éboueur volontaire.
Comme je le dis : « La propreté est le début de la dignité ».

Vous êtes venu aux Rencontres du FIL accompagné de votre accordéon. La musique est une de vos passions ?

Je joue de l’accordéon depuis 1966. Personne ne me l’a appris, c’est un don du ciel. Les enfants du quartier me surnomment « Papi musique ».

Au programme : jeux en bois, crêpes et musique.

Une cinquantaine de locataires, petits et grands, ont répondu présent à notre invitation, en présence de Sandra Impériale, maire de Bouguenais et de nos représentants de locataires.